La réalisatrice Brigitte Chevet a réalisé un documentaire nommé « les voleurs de feu », qui décortique la dernière crise du solaire photovoltaïque depuis fin 2010 et la mise en place de 3 mois de moratoire par le gouvernement français de l’époque.

Partout dans le monde, l’énergie solaire se développe de manière spectaculaire… Sauf en France où la filière photovoltaïque a perdu la moitié de ses emplois depuis 2011.

Que s’est-il passé alors que dans les années 70, la recherche photovoltaïque française était l’une des plus performantes au monde ? Qui a peur du développement de l’énergie solaire en France ?

La réalisatrice Brigitte Chevet, mène l’enquête… Cliquer sur ce lien pour voir ce documentaire

Le Forum EnerGaïa est organisé  au Parc des Expositions de Montpellier les 14 et 15 décembre 2016. Une dixième édition qui se présente sous les meilleurs auspices avec d’ores et déjà +50% d’entreprises exposantes par rapport à l’an passé, soit 80 entreprises, et près de 4000 visiteurs professionnels, experts, élus et décideurs attendus.

Un programme complet de conférences- Mercredi 14 et jeudi 15 décembre

  • Conférence plénière d’ouverture – Mercredi 14 décembre à 9h30
  • Atelier participatif en processus « Café du monde » : Comment monter un projet éolien d’intérêt territorial ? – Mercredi 14 décembre de 11h à 12h30
  • Les 1ères Assises régionales de l’énergie – Mercredi 14 décembre de 14h à 17h
  • Conférence sur l’éolien offshore flottant : la naissance d’une filière – Jeudi 15 décembre de 9h à 13h
  • 1ères rencontres régionales des projets citoyens d’énergie renouvelable en Occitanie – Jeudi 15 décembre de 14h à 16h
  • Atelier construction bois et performances – Réhabiliter et agrandir des bâtiments : les solutions bois – Jeudi 15 décembre de 10h à 12h
  • Rencontres Flash’Energy – Mercredi 14 et jeudi 15 décembre
  • Le Forum EnerGaïa est avant tout un rendez-vous business pour les professionnels de la filière des EnR. La CCI LR organise ainsi des rencontres Flash’Energy, mini-conférences animées par des chefs d’entreprises de sociétés innovantes.
  • Explor’Camp photovoltaïque – Jeudi 15 décembre de 10h30 à 13h
    EnerGaïa propose un Explor’Camp sur les nouveaux modèles d’affaires du photovoltaïque pour le secteur professionnel. Cet ExplorCamp proposera une dizaine de tables d’exploration. À chaque table, un intervenant présentera un modèle d’affaires développé par son entreprise durant des sessions de 30 minutes, permettant ainsi aux conférenciers de construire leur parcours d’exploration.Soirée Grand Public – Projection-débat autour du film « Qu’est-ce qu’on attend? » de Marie-Monique Robin – Mercredi 14 décembre à 19h
    La transition énergétique représente-t-elle une contrainte ou un avenir enviable ? Depuis 2009, la petite ville alsacienne d’Ungersheim a entrepris sa transition, qui n’englobe pas seulement l’énergie mais tous les aspects de la vie quotidienne : alimentation, transport, travail, démocratie, monnaie locale, etc. La célèbre documentariste Marie-Monique Robin nous fait vivre toute une année avec les habitants de la commune d’Ungersheim et rend ainsi palpable les multiples bienfaits de la transition. Soirée en présence de la réalisatrice et du maire d’Ungersheim.

    Remise des Trophées EnerGaïa – Mercredi 14 décembre à 17h30
    Organisés à l’initiative de la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée avec le concours de Transferts, Madeeli et Sud de France Développement, les Trophées EnerGaïa récompensent deux entreprises dans les catégories « Innovation » et « Export ».

Trois jours après avoir reçu les ministres européens de l’Environnement, Ségolène Royal a réuni lundi 15 février les principaux chefs d’entreprises du « Business Dialogue » avec Gérard Mestrallet, Président-directeur général d’Engie. L’objectif est de définir un plan d’actions pour 2016 et concrétiser les engagements de la Conférence de Paris dans les secteurs stratégiques de la croissance verte.

Le succès de la COP21 a montré une véritable prise de conscience du monde économique : plus d’un tiers des 200 plus grandes entreprises se sont engagées à travers l’Agenda des Solutions. Les 70 initiatives annoncées à cette occasion représentent plusieurs centaines de milliards de dollars qui peuvent être réorientés vers les marchés de l’économie bas-carbone.

En cette année de présidence française de la COP21, Ségolène Royal souhaite amplifier cette dynamique en agissant dans 3 domaines prioritaires :

• Investissements pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique ;
• Accès à l’énergie ;
• Prix du carbone et financement de la lutte contre le dérèglement climatique.

En réunissant les chefs d’entreprises qui agissent concrètement dans leur stratégie de production et d’investissement, la ministre a rappelé les grandes orientations pour appliquer l’Accord de Paris :

• Participer à la promotion et la mise en œuvre des coalitions internationales de l’Agenda des Solutions ;
• Prendre des décisions structurelles comme la fixation d’un prix du carbone interne, le reporting climat de leurs actifs, et des engagements chiffrés de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre ;
• Encourager l’exemplarité des entreprises pour créer un effet d’entrainement.

Pour accompagner les acteurs économiques dans ce mouvement, la ministre a présenté trois propositions pour le premier semestre 2016. Chaque entreprise sera chargée d’élaborer d’une « contribution » pour le climat, à l’image de ce qui a été réalisé par les Etats avec les INDC. Cette initiative comprendra un objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre, un plan d’actions pour y parvenir, une stratégie R&D bas carbone et un dispositif de suivi et d’évaluation. Ces plans d’actions seront compilés dans un « registre public » consultable par tous les acteurs économiques. La ministre s’engage à communiquer régulièrement sur les actions proposées pour mesurer la progression de la mobilisation et partager les meilleurs pratiques.

Les grandes entreprises françaises accompagneront le gouvernement dans la présidence de la COP pendant un an à l’image d’Engie, qui a créé le collectif Terrawatt pour accompagner l’Alliance solaire, ou de Michelin, qui s’engage pour le développement du véhicule électrique. Ségolène Royal souhaite que « ces entreprises deviennent les ambassadrices des engagements de la COP21, à condition qu’elles soient elles-mêmes exemplaires dans les filières de la croissance verte ».

Selon une dépêche de l’AFP, les députés et les sénateurs ont échoué mardi à se mettre d’accord sur le projet de loi sur la transition énergétique, sur lequel l’Assemblée nationale, après une ultime navette, aura le dernier mot, selon des sources concordantes.

Le Sénat, à majorité de droite, refuse de fixer une date-butoir à la réduction à 50% de la part du nucléaire dans la production d’électricité, alors que l’Assemblée, à majorité de gauche, approuve la date de 2025 proposée par le gouvernement.

La commission mixte-paritaire (sept députés-sept sénateurs) a pris acte de cette divergence. L’Assemblée va, au printemps, modifier le texte adopté début mars par le Sénat, qui va ensuite une dernière fois examiner le projet de loi, avant que l’Assemblée nationale ne tranche définitivement.

Si nous ne sommes pas d’accord sur les objectifs, on ne peut pas fixer de feuille de route. Mais sur les actions concrètes, nous respecterons le travail accompli par le Sénat, a déclaré à l’AFP le député socialiste François Brottes, président de la commission spéciale de l’Assemblée sur ce projet, et qui présidait la CMP.

Dans un communiqué commun, les groupes UMP de l’Assemblée et du Sénat ont regretté un échec de la CMP provoqué par la majorité socialiste. L’UMP dit non à une sortie prématurée du nucléaire, l’UMP dit non à un doublement de la facture d’électricité des Français pour rejoindre nos voisins allemands qui payent cher leur politique de sortie du nucléaire et enfin l’UMP dit non au doublement des émissions de CO2 et de gaz à effet de serre, provoqué selon elle par la réduction du nucléaire.

A l’inverse, les écologistes membres de la CMP, le député Dénis Baupin et le sénateur Ronan Dantec se sont réjoui que la mobilisation et le bon sens aient permis de préserver l’ambition de ce texte majeur du quinquennat, à la hauteur des engagements présidentiels.

De même, Greenpeace France a estimé que la confirmation par la majorité présidentielle de la réduction de la part du nucléaire est le signal politique qu’il faut désormais faire de la place aux renouvelables. Mais, a ajouté l’organisation le gouvernement doit passer à l’action, sans attendre que la loi de transition énergétique soit mise en oeuvre, ce qui prendra près d’un an. Pour cela, il faut sous 18 mois, raccorder 2,5 GW d’éolien terrestre, soit 1.000 éoliennes, et autant de solaire.

On a perdu beaucoup de temps au Sénat, qui a complètement détricoté le texte de l’Assemblée nationale. A la sortie du Sénat, le texte a remis en cause les engagements du Président de la République sur la réduction de la part du nucléaire dans la production électrique, le texte de loi a complètement transformé ce qui était prévu pour le développement des énergies éoliennes alors que c’est un atout majeur qu’il faut qu’on développe dans notre pays (…). J’aurais voulu que le Sénat soit sage, a déclaré Emmanuelle Cosse, secrétaire nationale d’EELV sur Public Sénat.

Le gouvernement a donc cédé à Bruxelles, qui estimait que la majoration de 5 et 10% pour des modules fabriqués en tout ou partie dans l’espace économique européen constituait une entrave à la libre concurrence. Depuis que la Commission européenne avait fait connaitre son point de vue on savait que les jours de cette majoration tarifaire étaient comptés.
Le projet d’arrêté (en partie reproduit ci-dessous) a été transmis au Conseil Supérieur de l’Energie qui devrait l’examiner lors de sa séance du 12 mars. L’Avis du CSE est un avis consultatif. Sa publication au Journal Officiel pourra alors intervenir.
Les projets complets qui auront été transmis à EDF OA, avant la publication de l’arrêté au JO bénéficieront de la majoration tarifaire.

Le thème de l’autoconsommation a dominé le colloque du SER qui s’est déroulé hier à la Défense en présence de quelques trois cents participants. Nous reviendrons plus en détail sur les différentes interventions dans les prochains jours, mais il est intéressant de dégager à chaud quelques idées-forces.

La première fut donc l’autoconsommation. Dans son discours d’ouverture, Delphine Batho, ministre de l’écologie et de l’énergie, n’hésita pas à demander aux professionnels « des propositions concrètes pour engager l’autoconsommation ». La CRE propose un tarif pour l’énergie consommée, l’excédent étant vendu au réseau au prix du marché.

Mais la palme est revenue à Bruno Léchevin (photo), président de l’Ademe, dont c’était une des premières interventions publiques. Il prononça un véritable plaidoyer pour l’autoconsommation : « C’est une bonne et belle idée capable de ré-enchanter les citoyens pour les énergies renouvelables. L’autoconsommation est une opération triplement gagnante. Pour le producteur, le gestionnaire de réseau et la collectivité en limitant la CSPE ». Avec à la clé une réflexion sur un bonus à l’autoconsommation ou un tarif spécifique. Bruno Léchevin a par ailleurs confirmé la vision de l’Ademe sur le photovoltaïque qui devrait porter la puissance installée à quelques 15 GW en 2020.

Si ce chiffre n’a pas été confirmé par la ministre, elle a tout de même annoncé une prochaine révision de PPI (qui pour l’instant fixe l’objectif à 5,4 GW en 2020). Delphine Batho a également annoncé une révision « technique » de l’appel d’offres pour les installations supérieures à 250 kW, ce qui devrait logiquement entrainer une annulation de la procédure en cours et la publication d’un nouveau cahier des charges. La remise des propositions serait donc décalée au mois de décembre, mais les services de l’Etat devraient choisir les lauréats dans des délais plus courts que précédemment. Enfin un nouvel appel d’offres sera lancé dès cet automne (il était prévu initialement en 2014).

Autre sujet de satisfaction la signature d’un accord entre EDF EN et Saint-Gobain, plus précisément entre leurs filiales respectives Nexis et Avansis dans le domaine des couches minces. La convention d’une courte durée de 6 mois devra permettre de vérifier la faisabilité de l’implémentation des techniques innovantes de Nexis dans l’usine allemande d’Avansis. Mais la technique n’est pas tout et pour assurer la pérennité de cette filière les industriels demandent qu’une tranche spécifique aux couches minces soit réservée dans le prochain appel d’offres.

Delphine Batho a également rencontré une délégation d’une trentaine de salariés de l’entreprise Bosch Solar, venus faire part à la ministre de leur incompréhension. L’usine de Vénissieux tourne en effet à plein régime, alors qu’une fermeture est programmée. Le député européen Yannick Jadot qui s’était joint à la délégation constate que les propositions de reprises émanent de petites entreprises, ce qui fragiliserait l’usine. Et les représentants syndicaux de Bosch d’avancer les noms de Photowatt, EdF ou Total comme candidats souhaités. Delphine Batho a alors répondu que ces entreprises étaient déjà confrontées à leurs propres surcapacités.

Hervé Latouche (Sunzil) fit remarquer que le seuil de 30% de l’électricité renouvelable avait été atteint dans les DOM. Dès lors les contraintes de déconnexion du réseau ne permettent plus de trouver un modèle économique viable. Il appelle à reconsidérer les DOM comme le laboratoire qu’il fut jadis, pour expérimenter les technologies qui seront déployées dans quelques années en métropole.

Le représentant de JMB énergie posa directement la question de l’augmentation continue des coûts de raccordement des installations PV. Un point de vue qui n’était pas partagé, bien entendu par le représentant d’ERDF…

D’après L’APESI (Association des Professionnels de l’Electricité Solaire Indépendants) prend acte de l’attribution par la Ministre de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie, des appels d’offre relatifs à la construction d’installations solaires photovoltaïques et thermodynamiques d’une puissance supérieure à 250 kWc. Cette décision met fin, après un long processus de dépôt des candidatures et d’instruction des dossiers par la Commission de Régulation de l’Energie, à un moratoire de près de 20 mois, qui a déjà été fatal à de nombreuses sociétés et a entraîné plusieurs milliers de suppressions d’emplois dans un secteur pourtant parmi les plus dynamiques au monde.

L’APESI observe toutefois que ces résultats confirment les craintes que cet appel d’offre avait soulevées à sa sortie auprès des syndicats professionnels et d’un certain nombre d’élus locaux, dont l’actuelle Ministre, Delphine Batho, qui avait vivement critiqué ce système à l’Assemblée Nationale en juillet 2011. L’APESI regrette que cette procédure inadaptée, héritée du précédent Gouvernement, n’ait pas été amendée afin de pallier ses incohérences et ses injustices, contribuant ainsi à la poursuite de la politique de déstabilisation dont souffre l’industrie photovoltaïque depuis 2 ans :

• Mépris de la logique d’aménagement du territoire et de décentralisation de la production d’énergie renouvelable : les ¾ des lauréats (hors DOM) sont concentrés dans seulement 3 régions,
• Surcoût du système pour la collectivité : le délai (6 mois) entre le dépôt des candidatures et les résultats entraîne une décorrelation entre la réalité du marché aujourd’hui et les hypothèses des lauréats dans leurs dossiers de candidature ; les tarifs proposés par les lauréats sont supérieurs à ceux qui seraient aujourd’hui nécessaires (dans un système traditionnel de tarif de rachat), ce qui est contre-productif pour les finances publiques,
• Faiblesse du volume attribué : seulement 520 MWc seront à construire sur les deux prochaines années, ce qui ne permet pas le développement d’une filière industrielle nationale, face à la concurrence de pays comme l’Allemagne, l’Italie, les Etats-Unis, la Chine ou le Japon, qui ont des objectifs d’installations photovoltaïques jusqu’à 10 fois supérieurs,
• Fragilisation des acteurs de la filières, et plus particulièrement des PME : outre la difficulté des PME à participer à ces appels d’offre (notamment en raison du coût de constitution des dossiers, et de l’impossibilité à obtenir une garantie bancaire), le faible nombre des lauréats (2/3 des projets des technologies matures attribués à seulement 5 sociétés), gèle pour plusieurs mois l’activité de nombreuses sociétés qui se sont créées depuis 5 ans et menace les quelques milliers d’emplois qui ont résisté au moratoire dans l’espoir d’une stabilisation réglementaire en 2012.

L’APESI note que la Ministre de l’Ecologie, du Développement Durable et de l’Énergie, envisage de mettre en place, à l’issue de la transmission du rapport commandé auprès du CGEIET et du CGEDD, de nouvelles mesures permettant à la filière de poursuivre son développement. Dans un premier temps, l’APESI souhaiterait que la Commission de Régulation de l’Energie et le Ministère de l’Ecologie explicitent précisément aux candidats de ce premier appel d’offre quels sont les critères (prix, origine des matériaux, nature des projets, innovation, soutien à la R&D, etc.) qui ont prévalu dans leur évaluation, et dans quelle proportion.

Dans un second temps, l’APESI souhaiterait que les nouvelles mesures prévues pour septembre 2012 prennent en considération deux éléments fondamentaux pour pallier les anomalies observées dans les résultats annoncés vendredi dernier :
• Affirmation d’un principe de régionalisation des tarifs de rachat, afin que la répartition des projets photovoltaïque en France soit équilibrée,
• Augmentation des volumes de projets à construire chaque année, afin de permettre à une filière industrielle française d’émerger enfin, et de respecter les objectifs européens de 23% d’énergie renouvelable dans le mix énergétique en 2020.
Sur cette base, l’APESI estime que le cadre réglementaire le plus juste et le plus efficace, dans un objectif partagé de baisse du coût pour la collectivité, de création d’emplois et de promotion des technologies nouvelles, serait le suivant :
• Maintien d’un système d’appel d’offre pour les solutions innovantes (trackers, thermodynamique, concentration), qui requièrent un soutien tarifaire plus important que les technologies matures, et pour lesquelles ce mécanisme a prouvé sa valeur,
• Rétablissement d’un système de tarif de rachat pour les technologies matures (centrales au sol de toute taille et centrales en toiture supérieures à 250 kWc), présentant les caractéristiques suivantes :

– Tarif de base de 14 cents (tarif similaire à celui en vigueur en Allemagne actuellement), indexé sur l’inflation (retour à la formule d’indexation valide avant 2010),
– Coefficient départemental appliqué au tarif de base et conforme à celui mis en place dans l’Arrêté du 12 janvier 2010,
– Quota semestriel ou annuel, avec dégressivité pré-définie du tarif de base.

Ce rétablissement d’un tarif de rachat pour les technologies matures permettrait d’accélérer la transition de la filière vers la parité réseau, pour un coût inférieur à celui des appels d’offre et dans une équité totale entre tous les acteurs. Le maintien du système d’appel d’offre aux technologies nouvelles permettrait parallèlement à l’Etat de focaliser son soutien aux innovations qui seront jugées créatrices de valeur pour l’avenir.

Selon une information transmise par l’association Enerplan, le plafond de dépenses éligibles pour le photovoltaïque est fixé à 3200 €/TTC par kilowatt-crête de puissance installée, celui du solaire thermique est fixé à 1000€/TTC par mètre carré hors tout de capteurs solaires.

Le cas des installations utilisant des capteurs hybrides (solaire thermique et PV) n’est pas encore tranché et n’est pas traité dans le cadre de ces dispositions générales.

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